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¿“Cosas buenas de guitarra” o “estereotipaciones”? | « De bonnes choses à la guitare » ou « de stéréotypifications » ? |
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LA EVOLUCIÓN DEL USO DE LA GUITARRA EN LA MÚSICA POP | L’ÉVOLUTION DE L’UTILISATION DE LA GUITARE DANS LA MUSIQUE POP |
Durante los años 50 no era frecuente encontrar un solo de guitarra en los singles de rock o de rhythm & blues, normalmente el espacio entre el puente y la tercera estrofa era ocupado por el síndrome bocinazo-chillido del saxo tenor. Cuando había una guitarra (normalmente en los discos de blues o country que coleccionaba), su función tenía poca semejanza con la colección de riffs patéticos y estereotipaciones liofilizadas de hoy en día (todos los sensibles fanáticos de la guitarra a los que realmente les encanta nuestra era actual pseudo-académica de impecable eficiencia harían bien en leer otro artículo). | Dans les années 50, il était rare de trouver un solo de guitare sur les singles de rock ou de rhythm & blues, c’était en général le syndrome klaxon-couinement du sax ténor qui occupait l’espace entre le pont et le troisième couplet. Quand il y avait une guitare (habituellement sur les disques de blues ou de country blues que je collectionnais), sa fonction ne ressemblait pas à l’abondance de plans de guitare pathétiques et stéréotypifications lyophilisées à vomir qu’on trouve aujourd’hui (vous tous, fans sensibles de la guitare, qui atteignent l’orgasme par notre ère actuelle pseudo-académique, ferez mieux de lire un autre article). |
Si tenéis acceso a ellos, tomaos el tiempo para escuchar los solos de guitarra de ♫ “Tres horas después de la medianoche” (Johnny “Guitar” Watson), ♫ “La historia de mi vida” (Guitar Slim) o casi cualquier single de B.B. King de la época. Para mi gusto, esos solos son ejemplares porque lo que se toca es honesto y es una extensión musical directa de la personalidad de los hombres que los tocaron. Si yo fuera crítico musical, tendría que decir que esos valores para mí significan más que la habilidad para interpretar fraseos precisos o nubes de eruditas notas-mosquitas. | Si tu peux y avoir accès, prends le temps d’écouter les solos de guitare sur ♫ « Trois heures après minuit » (de Johnny « Guitar » Watson), ♫ « L’histoire de ma vie » (de Guitar Slim) ou bien presque n’importe quel single de B.B. King de cette époque-là. À mon goût, ces solos sont exemplaires parce que ce qui est joué est honnête et une extension musicale directe de la personnalité des hommes qui les ont joués. Si j’étais critique musical, je dirais que ces valeurs signifient pour moi plus que la capacité d’exécuter des phrasés précis ou des nuages d’érudites notes-moucherons. |
Otros ejemplos de buenas cosas de guitarra de aquella época podrían incluir ♫ “El blues de Lucy Mae” (de Frankie Lee Simms), ♫ “Hogar feliz” (de Elmore James, aunque que Elmore tendiera a tocar el mismo riff famoso en cada disco; supongo que lo hacía a propósito) y el trabajo de Hubert Sumlin (con Buddy Guy, un par de veces) en las cosas de Howlin’ Wolf. Estoy seguro de que hay otras cosas buenas, pero este artículo es corto. | D’autres exemples de bon travail à la guitare de cette époque-là sont ♫ « Le blues de Lucy Mae » (de Frankie Lee Simmons), ♫ « Maison heureuse » (d’Elmore James, même si Elmore avait tendance à jouer le même plan de guitare fameux sur chaque disque ; j’ai le sentiment qu’il le faisait exprès), et les travaux de Hubert Sumlin (avec Buddy Guy quelquefois) sur les choses de Howlin’ Wolf. Je suis sûr qu’il y a d’autres choses intéressantes, mais celui-ci est un article court. |
Además, para ser justos, hubo algunos ejemplos clásicos de esterilidad también entonces, como en los solos de rock en los singles de Bill Haley y en los odiosos fraseos torpes en los discos de rhythm & blues de los quintetos vocales de Nueva York (en sellos como Gee, en los números ritmados con cambios de acordes I-VI-IV-V). | En outre, pour rester objectif, même alors il y a eu quelques exemples classiques de stérilité, comme dans les solos rock sur les singles de Bill Haley et sur les détestables phrasés embarrassés dans les disques de rhythm & blues des quintettes vocal new-yorkaises (pour les labels comme Gee, sur les numéros rythmés avec des progressions I-VI-IV-V). |
Luego llegamos a los años Sesenta. Llegamos allí en parte porque al rhythm & blues lo estaban produciendo hasta el agotamiento (cuerdas en los discos de Ray Charles y Fats Domino, etc.) y en parte porque Inglaterra estaba empezando a reenviarnos algo de música de los años Cincuenta reciclada, tocada por gente que era más joven y más guapa que los artistas originales, para ser consumida por gente que era más joven y más guapa que los consumidores originales (y que, especialmente en el caso de los fans de los Rolling Stones, nunca habían escuchado las grabaciones originales de Slim Harpo / Muddy Waters que eran incluidas, en nuevas versiones, en el repertorio de los Rolling Stones… y para colmo, amigos, si hubieran escuchado los originales, probablemente no les hubieran gustado nada porque ninguno de los artistas originales nombrados arriba se pavoneaba tanto como Mick Jagger). | Puis nous en arrivons aux années Soixante. Nous y arrivons en partie parce que le rhythm & blues avait été produit jusqu’à l’épuisement (des cordes sur les disques de Ray Charles et de Fats Domino, etc.) et en partie parce que l’Angleterre commençait à nous renvoyer de la musique des années Cinquante recyclée, jouée par des gens qui étaient plus jeunes et plus mignons que les interprètes originaux pour être consumée par des gens plus jeunes et plus mignons que les consommateurs originaux (et qui, surtout en ce qui concerne les fans des Rolling Stones, n’avaient jamais écouté les enregistrements originaux de Slim Harpo / Muddy Waters qui étaient inclus, dans de nouvelles versions, dans le répertoire des Rolling Stones… et de surcroît, mes amis, même s’ils avaient écouté les originaux, probablement qu’ils ne les auraient pas appréciés du tout parce qu’aucun des artistes originaux mentionnés ci-dessus ne sautillait en se pavanant comme Mick Jagger). |
Obviamente, el proceso de reciclaje incluía también la imitación de los solos de guitarra de Chuck Berry, los solos de guitarra de B.B. King e incluso algunas abstracciones de los solos de guitarra de John Lee Hooker. La guitarra se destacaba más en los acompañamientos en los singles, especialmente como instrumento rítmico. En la mayoría de los discos de personas blancas de aquellos días los solos tendían también a ser rítmicos, especialmente en la música surf. Casi todo lo que sobrevive en la memoria popular (en otras palabras, los grandes éxitos) estaba diseñado para bailarse, pero principalmente para venderse. | De toute évidence, une partie du processus de recyclage comprenait l’imitation des solos de guitare de Chuck Berry, de ceux de B.B. King et même quelques abstractions dans les solos de guitare de John Lee Hooker. La guitare devenait prédominante dans les arrangements et accompagnement sur les singles, surtout en tant qu’instrument rythmique. Sur la plupart des disques joués par les Blancs à l’époque, les solos tendaient aussi à être rythmiques, surtout sur la musique surf. Presque tout ce qui survit dans la mémoire populaire (en d’autres termes, les grands succès) était conçu pour être dansé, mais surtout pour être vendu. |
Los años Sesenta vieron los comienzos de la producción de discos como una ciencia al servicio del comercio, con un gran énfasis en la repetición de fórmulas exitosas. Lo mejor que se puede decir de este período es que nos trajo a Jeff Beck en su cumbre de feedback, Jimi Hendrix en lo mejor de su volumen exagerado y los Cream, que en cierto modo legitimaron grandes dosis de improvisación en el escenario (a condición de poder demostrar tu descendencia británica, normalmente haciendo citas musicales de discos de blues que la mayoría de los americanos nunca habían escuchado). Los programadores de radio escrupulosos prestaban atención a que nadie escuchara nada de eso porque ‘lo tocaban los negros’ e hicieron lo mejor que pudieron para proteger al público joven de los años Cincuenta y los primeros años Sesenta de tan terrible choque cultural, mientras tanto, en Inglaterra los mejores músicos buscaban codiciosamente viejos discos de blues, los conseguían, y estos discos formaron la base de su tradición instrumental. | Les années Soixante ont vu le début de la production discographique comme une science au service du commerce, avec une accentuation marquée vers la répétition des formules à succès. Ce qu’on peut dire de mieux sur cette époque-là est qu’elle nous a donné Jeff Beck au summum de son feedback, Jimi Hendrix au mieux de son volume exagéré et les Cream qui ont en quelque sorte légitimé fortes doses d’improvisation sur scène (à condition que tu puisses démontrer une descendance britannique, en général en citant des disques de blues que la plupart des Américains n’avaient jamais écouté). Les programmateurs radio zélés faisaient en sorte qu’on ne puisse jamais écouter ce genre de choses parce qu’il ‘était joué par des Nègres’ et ils faisaient de leur mieux pour protéger les jeunes auditoires des années Cinquante et Soixante d’un choc culturelle tellement horrible, tandis qu’en Angleterre les meilleurs musiciens convoitaient les disques de blues des bonnes années et parvenaient à se les procurer, et ces disques ont formé la base de leur tradition musicale. |
Así que, para resumir brevemente, caracterizaría la forma de tocar la guitarra en los años Cincuenta por tener, en su mejor parte, algo de verdadero humor, estilo y personalidad y, en su peor parte, esterilidad mecánica y falta de interés musical. | Ainsi, pour résumer, je caractériserai le guitarisme des années Cinquante comme ayant dans le meilleur des cas un peu d’humour véritable, style et personnalité, et dans les pires des cas une stérilité mécanique et un manque d’intérêt musical. |
Caracterizaría a los años Sesenta por aportar, a lo sumo, cualidades exploratorias que no eran posibles antes de la llegada de potentes sistemas de amplificación y grabación, más interés rítmico y, en algunos casos, verdadero humor, estilo y personalidad. En su peor parte, la forma de tocar la guitarra en los años Sesenta nos trajo rasgueos de amateur; varias patadas a los muelles del Fender Twin Reverb; el arquetipo de la bazofia folk-rock de 12 cuerdas (el predecesor de la horrible música falsamente sensible que tenemos hoy en día con el relajado, sensible y sufriente artista/cantante/cantautor posando delante de la valla de madera puesta a disposición por el departamento artístico de Warner Brothers Records y alquilada gentilmente a todas las demás discográficas que la necesitaban para ‘su’ versión de la misma mierda); y los primeros ejemplos de “solos psicodélicos de guitarra”, por no mencionar el In-A-Gadda-Da-Vida-ismo. | Je caractériserai les années Soixante comme ayant dans le meilleur des cas des qualités exploratoires qui n’étaient pas possibles avant l’avènement dans les studios de systèmes d’amplification et d’enregistrement puissants, ayant plus d’intérêt rythmique et dans quelque cas d’humour véritable, style et personnalité. Dans les pires, le guitarisme des années Soixante nous a apporté des grattements d’amateur ; plusieurs coups de pied sur les ressorts du Fender Twin Reverb ; l’archétype de la bouillie folk-rock à 12 cordes (prédécesseur de l’affreuse musique faussement sensible que nous avons aujourd’hui avec l’auteur / chanteur / compositeur décontractée, sensible et souffrant, appuyé contre cette palissade fournie par le département artistique de la Warner Brothers Records et gracieusement louée à toutes les autres maisons de disques qui en avaient besoin pour leur version de la même merde) ; et les premiers exemples de « solos psychédéliques de guitare », pour ne pas mentionner l’In-A-Gadda-Da-Vida-isme. |
Obviamente, esto es condensar y dejar mucho fuera, pero estoy seguro de que todos vosotros que habéis leído hasta aquí, siendo tan en sintonía con los tiempos, estáis ansiosos por leer algo más relevante para vuestro estilo de vida, ¡y tenéis toda la razón! Una perspectiva sobre la historia musical no tiene absolutamente ningún lugar en el electrizante mundo musical de hoy en día. ¡Sí, eso es, lo habéis oído bien! | Bien sûr que je condense et laisse beaucoup de côté, mais je suis sûr que vous qui avez tous lu jusqu’ici, étant tout à fait en phase avec les temps, attendez avec impatience de lire quelque chose de plus en rapport avec votre style de vie et vous avez tout à fait raison ! Une perspective de l’histoire de la musique n’a absolument aucune place dans l’électrisant monde musical d’aujourd’hui. Oui, c’est bien ça, vous avez bien entendu ! |
¿Cómo puede ninguna de esta información ser útil para un mundo musical que ha llegado a un punto de sofisticación que acepta conceptos como El Supergrupo, El Mejor Guitarrista del Mundo, El Guitarrista Más Rápido del Mundo, El Guitarrista Más Guapo del Mundo, El Guitarrista con Más Volumen del Mundo, El Guitarrista del Mundo que Ha Coleccionado las Guitarras Más Viejas del Mundo (algunas de las cuales han sido tocadas por guitarristas muertos que fueron verdaderos músicos) y así sucesivamente? | Comment une telle information pourrait-elle être utile dans un monde musical qui accepte des concepts tels que Le Supergroupe, Le Meilleur Guitariste du Monde, Le Guitariste le Plus Rapide du Monde, Le Guitariste le Plus Mignon du Monde, Le Guitariste le Plus Fort du Monde, Le Guitariste du Monde qui a Collectionné les Plus Vieilles Guitares du Monde (dont certaines jouées par des guitaristes morts qui étaient des véritables musiciens), et ainsi de suite ? |
La historia de la música pop suele contarnos quienes somos realmente, porque si no fuéramos de ese modo, no habríamos gastado cientos de millones de dólares en esos discos, ¿no es así? Después de un cuidadoso entrenamiento por parte de la gente de los medios y del merchandising, la población al completo (incluso los guitarristas) se ha transmutado en una ‘ameba-consumidora’ sin olor, razonablemente acicalada, mantenida viva solo para servir a los fabricantes, y que vive de acuerdo con el lema: lo más grande, lo más rápido, lo más fuerte igual lo más y lo mejor. | L’histoire de la musique pop habituellement nous dit qui nous sommes vraiment parc’que, si nous n’étions pas ainsi, nous n’aurions pas dépensé des milliards de dollars en disques, n’est-ce pas ? Après un conditionnement soigneux par le personnel des médias et de la promotion, la population entière (et mêmes les guitaristes) a été transmutée en une ‘amibe-consommatrice’ sans odeur, raisonnablement bien entretenue, qui est gardée en vie uniquement pour servir les fabricants et qui vit sa vie selon la devise : le plus grand, le plus rapide et le plus bruyant égal plus et mieux. |
Así que olvidad el pasado; no significa nada ya para vosotros (a menos que logréis encontrar un modo de tocarlo más fuerte / más rápido, lo que probablemente no sería demasiado difícil ya que hoy incluso los niños saben tocar tan rápido como los primeros seguidores de Mahavishnu). Afrontémoslo, una vez que te has aprendido los 28 o 29 trucos más comunes del rock (unos pocos riffs country, un poco de Albert King, una escala pentatónica aquí y allá, júntale tu vibrato guay) estás listo para la vida; para ser lo que será conocido en el futuro como “El Guitarrista de los Años Setenta”. | Donc, oublie le passé ; il ne signifie plus rien pour toi maintenant (à moins que tu ne puisses trouver le moyen de le jouer plus fort / plus rapide, ce qui ne devrait pas être trop difficile parce que de nos jours, même les enfants sont capables de jouer aussi vite que les premiers disciples de Mahavishnu). Soyons honnêtes, une fois que tu as appris les 28 ou 29 trucs du rock les plus utilisés (quelques riffs country, un peu d’Albert King, une gamme pentatonique ici et là, ajoute ton vibrato cool), tu es prêt à affronter la vie ; pour être celui qui sera connu dans le futur comme « Le Guitariste des Années Soixante-Dix ». |
Sí, pronto tú entrarás en la historia, y cuando por fin consigas tu contrato discográfico y por fin salga tu disco y venda diez millones de copias, y cada guitarrista principiante escuche tu puñeta tocada a una velocidad fenomenal con tu distorsión perfecta y tu ejecución enteramente aceptable, un mocoso con su primera guitarra (él y los otros diez millones) se dirá a sí mismo: “Mierda, yo también puedo hacer eso” y empezará a memorizar cada nota majestuosa y entonces la tocará más rápido que tú… (tal vez consiga meter sus treinta y dos notas en el intervalo de una sola nota punteada). | Oui, bientôt tu entreras dans l’histoire et tu auras enfin ton contrat pour faire un disque qui sortira enfin et se vendra à dix millions d’exemplaires, et tous le guitaristes débutants s’assiéront chez eux pour écouter ta branlette à une vitesse phénoménale, avec ta distorsion parfaite et ta exécution tout à fait acceptable, un blanc-bec avec sa première guitare (lui comme dix millions d’autres) se dira : « Putain, moi aussi, je peux faire ça » et se mettra à mémoriser chaque note majestueuse et ensuite la jouera plus vite que toi… (peut-être parviendra-t-il à faire entrer ses trente-deuxièmes dans la période d’une note entière pointillée). |
Y además, después de aprender a tocar tu solo más rápido, lo transpone a una tercera menor, roba algunos de los vestidos de su madre, consigue un trabajo en un bar, es descubierto, consigue un contrato discográfico (con un anticipo diez veces mayor que el tuyo), hace un álbum (con un presupuesto superior al tuyo porque, según los ejecutivos de la discográfica, va a ser el próximo éxito y no les importa gastar algo más para un verdadero talento). | Et ce n’est pas tout, après avoir appris à jouer ton solo plus vite, il le transpose dans une tierce mineure, fauche quelques robes à sa mère, trouve un boulot dans un club, se fait découvrir, obtient un contrat (avec une avance sur recettes dix fois plus grosse que la tienne), fait un album (avec un plus grand budget parce que selon les dirigeants de la maison de disques, il sera le prochain succès, et ils ne se soucient pas de dépenser un petit extra pour un vrai talent). |
Y además, acabas de darte cuenta de que no puedes tocar más rápido porque no has tenido ningún tiempo para practicar porque te has gastado en coca todas las regalías de tu primer álbum (y aún tienes que grabar diez más de acuerdo con tu contrato) y ya es hora de hacer tu segundo álbum y le has estado preguntando a los ingenieros de grabación cómo funciona un oscilador de velocidad variable y, mientras tanto, el mocoso con la ropa de su madre lanza su disco y vende veinte millones de copias y por ahí hay otros veinte millones de mocosos con sus primeras guitarras que están escuchando tu puñeta reciclada y se están diciendo… | Et ce n’est pas tout, tu viens de réaliser que tu ne peux pas jouer plus vite parce que tu n’as pas eu le temps de t’entraîner, parce que tu as dépensé en coke le chèque de redevance de ton premier album (et tu dois encore en enregistrer dix de plus d’après le contrat), il est déjà temps d’enregistrer ton deuxième album et tu demandes à des ingénieurs du son comment marche un oscillateur à vitesse variable, et pendant ce temps, le blanc-bec habillé avec les robes de sa mère sort son album qui se vend à vingt millions d’exemplaires, et quelque part par là il y a vingt millions d’autres blancs-becs avec leur première guitare qui écoutent ta branlette recyclée et qui se disent… |
Texto en inglés del sitio Zappa Books. |
Traducciones iniciales al español del sitio El Tercer Poder |