Ta bouche est ta religion
|
Tu places ta foi dans une telle cavité ?
|
Tu places ta confiance et tes croyances
|
Au-dessus de ta mâchoire, et je ne vois aucun solution
|
|
J’ai écouté tes histoires quand tu es rentrée
|
Tu as dit que tu étais allée voir ta sœur hier soir
|
Eh bien, tu pourrais te retrouver sans la plupart de ta denture et avec une couronne mortuaire
|
Quand tu seras toute seule sous terre, allongée
|
|
Alors dis-moi d’où arrives-tu avec tous ces bobards
|
Quand, à l’aube, tu reviens, trébuchante
|
« D’où arrives-tu ? », mon fusil demande
|
Parce qu’il aurait bien envie de te descendre
|
Parce qu’il aurait bien envie de te descendre
|
|
Une mauvaise femme peut te faire pleurer
|
Si tu crois tous les bobards qu’elle raconte
|
Eh bien, si elle te fait perdre ton sang-froid, tu pourras faire n’importe quoi
|
C’est pourquoi j’ai quelques conseils que tu devrais essayer
|
|
Tu dois juste la laisser parler un moment
|
Oh, tu dois juste la laisser parler un peu plus longtemps
|
Tu dois juste… Tu dois juste la laisser parler un peu plus longtemps
|
Et quand elle n’a plus rien à dire, tu n’as qu’à lui répéter ce que je t’ai dit avant
|
|
Dis-moi d’où arrives-tu avec tous ces bobards
|
Quand, à l’aube, tu reviens, trébuchante
|
« D’où arrives-tu ? », mon fusil demande
|
Parce qu’il aurait bien envie de te descendre
|
Parce qu’il aurait bien envie de te descendre
|
Parce qu’il aurait bien envie de te descendre
|
Parce qu’il aurait bien envie de te descendre
|
Parce qu’il aurait bien envie de te descendre
|
Parce qu’il aurait bien envie de te descendre
|
Si une grenouille apparaît
|
Avec un sac à bandoulière
|
Puis elle arrive devant ta maison
|
Et verse deux kilomètres de terre
|
Sur le paillasson et le long du hall
|
Jusqu’au porte-parapluies
|
Que tu regardais encore et encore
|
Regardais encore et encore
|
|
Et si une forêt pousse
|
Sur le sol, de la terre
|
Que la grenouille avec le sac
|
A versé près de ta porte naguère
|
Tu commenceras à t’inquiéter
|
Avec la claustrophobie qui te serre
|
Et ton esprit sera embrouillé
|
Réfléchis un instant à ceci :
|
|
Quand la réalité prend le dessus, tu pourrais être pris de panique
|
Quand la réalité prend le dessus, tu pourrais être pris de panique
|
Tu devrais plutôt en profiter pendant qu’elle se passe
|
Oui ! Tu devrais en profiter pendant qu’elle se passe !
|
Parc’que cela pourrait même être une occasion unique
|
|
[Instrumental]
|
|
Même si tu es perdu
|
Et tu voudrais être retrouvé
|
Garde un œil sur cette grenouille-là
|
Quand tu la vois sautiller
|
Tu dois juste ne pas la perdre de vue
|
Tu ne devrais pas la perdre de vue
|
Tu dois juste ne pas la perdre de vue
|
Tu voudrais lui demander là-dessus
|
Si elle a apporté un petit sac pour toi, ronchon !
|
Paroles en anglais depuis le site Information Is Not Knowledge. |
|